lundi 27 avril 2009

Bon anniversaire J. !

Aujourd'hui c'est son anniversaire, 17 ans enfin (ou encore - haha la bonne blague).
Celle que j'ai rencontré il y a quelques mois et en qui j'ai pourtant pleinement confiance. Celle avec qui je peux parler de tout, même de philosophie. Celle qui me soutient et m'engueule, quand il le faut, toujours avec justesse ou modération. Celle avec qui je peux faire des virées shopping de beaucoup d'heures. Celle que je peux inviter à dormir la veille et celle avec qui, même à trois reprises, je ne peux pas me coucher tôt. Celle avec qui je danse sur des musiques plus ou moins connes, celle avec qui je chante (faux) sur des musiques de Disney. Celle avec qui je regarde Hercule de 1h30 à 3h du matin. Celle qui a passé des heures et des heures avec moi quand j'étais malade, sans faire l'infirmière ou la fille qui a pitié.
Celle qui est juste parfaite. Celle que j'aime fort fort fort fort. Celle qui a aujourd'hui 17 ans, toutes ses dents, et de belles années devant elle. C'est tout le mal que je lui souhaite.

lundi 20 avril 2009

L'amour s'ammène et nous pauvre pouilleux, ils nous jettent tous les deux !

Pour certains, l'amour brille sous les étoiles. Pour les autres, ça sent mauvais dans l'air. Bah putain pour moi ça pue. Et ça pue depuis longtemps, en fait depuis que je m'intéresse à lui. L'homme. La bête. L'animal. (Oui, c'est bon, on a compris. Breffons.)
En maternelle, le joli Thomas ne me regardait même pas et pourtant je le vénèrais le gosse, ma mère me le rapelle encore (merci Maman. Elle mérite un article elle.). Eh nan, la ptite Louise, c'est cette abruti de Salim qui l'aimait. A ce moment là, j'avais rapidement éclipsé Thomas pour me consacrer à mon parrain (complexe d'Oedipe pas sur mon père qui est trop moche haha -oh la méchante) et celui-ci avait déclaré qu'il allait le tuer. Triste. En primaire, j'étais amoureuse de Sacha mais lui il s'en foutait encore plus, la honte. En plus son nom de famille ça veut dire "sauce" (oh l'excuuuuuuuse XD).
Arrivée en Finlande, mes hormones ont été très dérangées, j'ai eu des crushs sur des mecs immondes : j'ai pas encore assez de recul pour assumer donc voilà quoi. J'ai ensuite été amoureuse de celui qui allait devenir un très bon ami pour longtemps, puis d'un certain Alexandre dont je n'ai plus jamais entendu parler depuis. Mais voilà que je me retrouve à Janson et là c'est la meeerde. La vraie, la bonne, la longue merde. Mon premier "amour", par là j'entends que j'écrivais son prénom sur des pages entières, que je pensais tout le temps à lui et ce pendant un an. Mais encore une fois, il en avait R.A.F. de moi. (R.A.F. = Rien A Foutre. Pas mal, hein ?) En 4e, alors que je me remettais durement de cet idylle, je suis tombée amoureuse rapidement d'un très bon ami, et d'autres mecs de ma classe. Mais encore une fois, aucun succès auprès des fameuse bêtes alors que début 3e, j'avais un premier couple d'amis, qui a duré en plus (les cons). J'ai alors décidé de tomber amoureuse (plus ou moins "décidé" va-t'on-dire) d'un mec dans la moyenne : ni trop beau, ni trop moche, plutôt mignon ; pas ultra populaire mais pas non plus un gros bouffon ; relativement stylé enfin franchement le bon filon, EiL, il avait même un pitit nom de code. Mais pas de courage la poulette, il en a jamais rien su. Enfin si, il a forcément du le savoir vu ma discrétion légendaire, mais ça venait pas de moi. Mais je pense que c'est l'année dernière que j'ai pris conscience dans la chose en me mettant en tête un mec franchement adorable que j'ai depuis abordé en être asexué (non, son genre est bien défini mais je regarde son âme et plus sa gueule -du moins j'essaye). Cette obsession a duré plus d'un an, mon premier amour malheureux car non réciproque et même carrément plus parce qu'il est sorti avec une bonne amie. Le con. M'enfin.
Cette année, j'ai décidé d'être plus sage. Bon ok, j'ai la poisse de tomber amoureuse de mecs qui aiment mes copines mais on sait jamais, on a ce qu'on veut avec de la patience. :D

dimanche 12 avril 2009

Marguerite dans le macadam a besoin d'un doliprane.

Un week-end pour se ressourcer, se reposer, changer. En exactement 48h, avec quelques coktails ou shooters, deux-trois macarons et mignardises, je me suis rendu compte de beaucoup de choses. Premièrement, je dois faire attention aux gens. Comme me l'a dit J., je me plains de ne pas trouver l'amour, ou plutot que celui-ci ne me trouve pas, mais je n'observe pas. Selon celle-ci, quand on se balade dans les rues de Paris, on nous regarde. Pas seulement elle, la grande tige magnifiquement bien faite et très jolie, non non, apparemment moi aussi. Première nouvelle. J'ai donc mis en place la stratégie "arrête de regarder tes pieds ou ton portable quand tu marches" pour "observe autour de toi". Et je n'ai pas été déçue car le soir même, deux jolis BCBG reluquaient mes chaussures de l'autre côté du trottoir de l'Urgence Bar. Ne rêvez pas, je reste moi, ça n'est pas allé plus loin. Deuxièmement, je dois me bouger le fion. Dans deux mois et demis, je pars en vacances. Avant, je passe trois bacs pour lesquels je vais devoir lire, travailler et apprendre à raisonner en mini-scientifique. Je vais devoir perdre quelques grammes de muscles (humhum) avant d'exhiber mon corps de rêve (haha) à ma piscine et mes parents. Troisièmement, je change d'amoureux. Fini celui qui ne regarde que ma pote, même si je danse la cucaracha en slip vert avec mon caniche nain dans les bras. J'attends le prochain.

Non, je déconne. Je l'ai déjà trouvé. Mais je le préserve de mon encre assassine.

samedi 4 avril 2009

We don't need anything or anyone

Qui n'a pas pleuré parce qu'il était seul un samedi soir ? En fait, si j'étais exacte, je devrais parler pour les filles parce qu'il m'est heureusement ou malheureusement impossible de me mettre dans la peau de ceux qui s'amusent à nous pourrir la vie.
Ben moi, ca m'arrive souvent. Enfin pas que je sois une grosse no-life ou quoi que ce soit du genre joueuse de Dark Simulator compulsive, c'est juste qu'il y a des périodes avec et des périodes sans. Bah là c'est le sans, le sans total qui ne propose aucun échappatoire ni aucune solution à la solitude du samedi soir derrière son ordi.
Alors on s'occupe comme on peut, on joue aux Sims, on fait sa fouine sur Facebook, on lit, on danse, on chante. On chante. On écoute de la musique, pour ma part. Et cette musique c'est quoi ? Celle qui nous rappelle nos amis ? Un après-midi sympathique assez récent ? Une chanson qui nous rappelle nos jeunes années ? Eh bien parlez pour vous, pour ma part j'écoute une chanson déprimante. Oui é-xe-près. Parce que rien ni personne ou plutôt une seule personne pourrait m'empêcher de pleurer à l'heure solennelle où j'écris. Mais celle-ci est plus occupée à danser et rouler des patins. Bref. Alors, je me suis fait une playlist de chansons déprimantes qui me rappellent mes amours déchus, déçus et décevants. Un bon coktail de chansons tristes ou moins tristes, belles ou moins belles, mais qui ont comme point commun de transmettre une émotion impénétrable : la tristesse.

Chasing Cars - Snow Patrol
Pourquoi tu pleures ? -Madame Kay
When you were young - The Killers
Wherever you will go - The Calling
The winner takes it all - ABBA
La ballade de Jim - Alain Souchon
The man who can't be moved - The Script
Little Sister - ?
Somewhere only we know - Keane

This could be the start of something new

Je n'ai pas créé ce blog pour me montrer, pour montrer mes amis et à quel point ma vie est belle ou ne l'est pas. Mais juste pour écrire et m'exprimer, pour être lu par des gens qui savent peut etre très peu de choses de moi.
J'écris en français, seulement quand je pleure, j'écris en anglais. Hors crise, pas la peine de faire "je suis stylée donc je parle anglais" : après tout, quel est l'intéret ?
J'ai l'intention d'écrire sur ma vie, tout ce qui est susceptible de me faire réagir, ce qui me touche de près ou de loin. Ce qui me permet le plus de m'exprimer et de me lâcher, c'est la musique. Alors que certains peignent ou écrivent, moi j'écoute de la musique ou je chante. Il existe forcément sur Terre une chanson qui décrit le sentiment qu'on vit là, maintenant, tout de suite. Il suffit juste de la connaitre, et ça, c'est plus dur.